• Ceux qui n'ont pas lu le projet de Constitution disent encore Oui.

    Ceux qui l'ont lu disent franchement NON !

    Jean-Pierre CHEVENEMENT


    2 commentaires
  • Jean-Pierre CHEVENEMENT

    (...) Je ne crois pas davantage à la capacité des socialistes et sociaux-démocrates à agir à l'intérieur de ce carcan libéral pour " assouplir le texte ". L'échec du sommet de Lisbonne, en 2000, où douze sur quinze des gouvernements représentés étaient " de gauche " a été révélateur: ses résultats en furent la flexibilité du travail et une augmentation illusoire de l'effort de recherche porté - par quel miracle? - de 1,7% à 3% du PIB d'ici à 2010. Le fiasco est au rendez-vous. D'Amsterdam à Barcelone en passant par Lisbonne et Nice. et la mise sur orbite à Laeken de M. Giscard d'Estaing et de sa Convention, la route pour les gauches européennes fut droite et la pente glissante.

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  • Le non s'installe dans l'opinion et les pauvres arguments du oui n'y changent rien. Par Jean-Pierre CHEVÈNEMENT - LIBERATION -
     

    Jacques Chirac n'est pas crédible quand il prétend que la «Constitution» permettrait de «sauvegarder le modèle social européen». Les critères de gestion qu'elle fixe sont tous récessifs : interdiction de la relance par l'investissement du fait d'un pacte de stabilité absurde qui n'a été que cosmétiquement assoupli (la règle des 3 % figure toujours dans le traité et aucune déduction des dépenses de recherche, par exemple, n'est autorisée). Seule au monde dans ce cas, la Banque centrale indépendante n'a pas à se soucier de la croissance et de l'emploi. La Commission interprète le primat de la concurrence comme l'interdiction de toute politique industrielle. Un enfant peut comprendre que sans croissance économique l'équilibre du régime des retraites, de l'assurance maladie ou de l'assurance chômage est inévitablement compromis. C'est pourquoi, même en choisissant des interlocuteurs très jeunes, le président de la République prend des risques.

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  • « Il n'y a pas de OUI de gauche, pas plus qu'il n'y a de Oui gaulliste ».

    « Il y a un OUI libéral. Point à la ligne. »

    Jean-Pierre CHEVENEMENT.


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  • PARIS, 30 mars 2005 (AFP) -

    "Je n'ai pas cessé de ramer, je suis le Maud Fontenoy de la politique, et nous ne sommes pas très loin des Marquises", a lancé Jean-Pierre CHEVENEMENT.

    Le maire de Belfort s'est encore félicité du "véritable dynamisme de la campagne du non", dans laquelle il s'est lancé avec "un programme simple" : "du terrain, encore du terrain, toujours du terrain".

    "La victoire du non sera une chance pour la gauche, une chance pour la France, une chance pour l'Europe", a-t-il affirmé.


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