• "Le peuple doit garder la parole" par Michel Vauzelle, ­Président (PS) de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

    Depuis le vote du Parti socialiste en faveur du "oui", j'ai respecté la discipline démocratique de mon parti. En bon militant je n'ai donc fait aucune campagne pour le "non". Mais, bien enten­du, je serai fidèle, en tant que ci­toyen libre, à mes idéaux et à mes convictions. Je voterai donc "non".

    Aujourd'hui, c'est en tant que président de Région que j'ai le devoir de sortir de mon silence.

    Notre peuple reste porteur d'un rêve qui fonde son identité culturelle, sa liberté, sa fierté "l'idéal républicain" qui est l'image de la France qu'aime le monde depuis 1789.

    "En tant que citoyen libre, je serai fidèle à mes idéaux et à mes convictions, je voterai non".


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  • Trente élus de gauche (PS, PRG et Verts) ont signé un appel intitulé "Faisons respecter nos convictions", qui dénonce "les mensonges" des partisans du oui et appelle les responsables de gauche pro-oui à "garder leur sang-froid".
    L'ancien ministre PS Paul Quilès, député du Tarn, a déclaré que les signataires se "considèrent comme un peu dénigrés, voire un peu insultés dans leurs convictions profondes" entouré d'une dizaine de parlementaires français ou européens, dont les anciens ministres PS André Laignel et Marie-Noëlle Lienemann, Emile Zuccarelli (PRG) et la députée de Paris Martine Billard (Verts).


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  • Le débat actuel sur le projet de traité constitutionnel européen est capital pour notre pays et pour l'ensemble des peuples qui composent l'Europe. Du vote qui interviendra le 29 mai en France dépendra non seulement l'orientation future de l'Europe mais aussi l'avenir quotidien de chacun d'entre nous pour une très longue durée.

    La montée spectaculaire du NON dans les sondages a révélé un véritable divorce entre le peuple et la quasi-totalité de nos élites qui ont pris position pour le OUI. Prises de panique devant ce désaveu cinglant, ces dernières utilisent les arguments les plus discutables et montrent un très grand mépris à l'égard du peuple qui ose se rebeller contre elles.
    Il est faux en particulier de prétendre qu'il ne serait tenu aucun compte d'un vote négatif du peuple français, peuple fondateur et incontournable de l'Europe, indispensable à son existence même. Affirmer une telle contrevérité est un véritable déni de démocratie.

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  • Des témoignages européens pour le NON à la Constitution européenne !


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  • Pierre Messmer, Compagnon de la Libération, ancien Premier ministre, ancien président de l'Institut Charles de Gaulle, président de Présence et Action du Gaullisme, membre de l'Institut

    Hubert Germain, Compagnon de la Libération, ancien ministre, ancien président de l'Amicale parlementaire Présence et Action du Gaullisme

    Pierre-Louis Blanc, Ambassadeur de France, ancien directeur de l'ENA, ancien collaborateur de Charles de Gaulle

    Étienne Burin des Roziers, Médaillé de la Résistance, Ambassadeur de France, ancien secrétaire général de la présidence de la République

    Michel Cazenave, journaliste et écrivain, ancien secrétaire général de l'Union Démocratique du Travail (UDT)

    Jean Charbonnel, ancien ministre, président d'Action pour le Renouveau du Gaullisme et de ses Objectifs Sociaux (ARGOS)

    Jacques Dauer, président de l'Académie du Gaullisme et du Club des élus et anciens élus Gaullistes de conviction

    colonel Jean d'Escrienne, ancien collaborateur de Charles de Gaulle

    (voir la liste...cliquer sur le titre)


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