Mercredi 25 mai - 18h00

 Café républicain-débat contradictoire "les Jeunes Verts" partisan du OUI

et Nicolas Bonin, MRC. café "Le relais Jussieu", 37 rue Linné Paris

Vème (métro: Jussieu lignes 7 et 10)

Jeudi 26 de 12h à 16h.

 Débats - UNEF-Paris 3 entre jeunes pour le OUI (RéSo, réformistes et solidaires) et jeunes partisans du NON (MRC). Censier (13 rue Santeuil, métro Censier)

Dans une réflexion sur le rôle des universités dans le cadre de la stratégie de Lisbonne publiée mercredi dernier, la Commission</personname /> a pointé du doigt les «faiblesses des institutions européennes d'enseignement supérieur» et a invité les Etats membres à «s'assurer que leurs cadres réglementaires permettent aux universités d'entreprendre des changements véritables». En d'autres termes, les universités sont acculées à opérer une transformation radicale et ne pourront le faire qu'avec l'aide des Etats.

La Commission</personname /> y définit trois priorités : renforcer la qualité et l'attractivité des établissements, améliorer leur gouvernance et augmenter et diversifier leurs sources de financement, «avec ou sans une contribution substantielle des étudiants», précise-t-elle.

Les chaires universitaire sponsorisées par les entreprises !

Diversifier les sources de financement, les grandes écoles y ont déjà pensé en faisant appel à des entreprises privées pour sponsoriser des programmes de recherche. Les initiatives se multiplient. Et les universités, beaucoup plus timides sur ce terrain, pourraient bien leur emboîter le pas. L'Institut d'administration des entreprises (IAE) de Toulouse, dispose déjà de trois chaires financées par l'industrie (SFR, Pierre Fabre, Airbus).

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"Nous militants engagés, responsables des premières organisations lycéenne et étudiante, acteurs de la démocratie, ne pouvons nous satisfaire de ce simulacre de démocratie où vous répondrez aux questions d'un panel soigneusement sélectionné".

"Nous voulons être respectés, écoutés, consultés pour ce que nous sommes, pas pour ce que vous souhaitez obtenir de nous. Le débat européen mérite mieux qu'un jeu de questions-réponses, alibi grossier au lancement de votre campagne pour le OUI à la constitution. En démocratie, il existe le droit de dire Oui comme de dire NON".