• URGENT – 24 février 2005 -

    Lancement du  – Comité pour le « NON » !  des Alpes-Maritimes (06)

    avec René Isnard et Ladislas Polski

    - Nice-Matin -


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  • Le Figaro - 02 mars 2005 -

    Assez de mensonges à propos de l'Europe ! Il faut les dénoncer puisque les illusionnistes sont à nouveau sur les estrades, à gauche, au centre, à droite, pour nous faire croire qu'une abstention massive à un référendum signifie un oui enthousiaste à la Constitution, pour nous faire rêver de châteaux en Espagne et nous faire acclamer leurs chimères.

    Ils nous disent : l'Europe c'est la paix, la sécurité, des droits fondamentaux, un modèle social, la croissance, une monnaie forte, le contrepoids indispensable aux Etats-Unis, une puissance et une politique étrangère, conditions de l'équilibre mondial, un peuple européen de 450 millions de personnes où coexistent et sont respectées toutes les cultures, toutes les religions, toutes les races. Et, dans dix ou quinze ans, l'entrée de la Turquie parachèvera ce modèle ouvert, tolérant, harmonieux. L'Europe, économie sociale de marché, fédération d'Etats-nations, construction inédite, c'est le modèle envié et l'espoir !

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  • PARIS, 3 mars 2005 (AFP) - Le chevènementiste Georges Sarre, premier secrétaire du Mouvement républicain et citoyen (MRC), a proposé, lors de son entretien avec Jacques Chirac à l'Elysée, que le référendum sur la Constitution européenne ait lieu "le 19 juin, ou à défaut le 12".

    Georges Sarre était reçu par le président de la République dans le cadre de ses consultations des formations politiques représentées au Parlement sur la date et les modalités du référendum.

    A l'issue de cet entretien, qui concluait les consultations, Georges Sarre a indiqué qu'il avait proposé que le référendum ait lieu "le 19 juin, ou à défaut le 12". Mais il a reconnu que le MRC ne partageait pas l'avis de la majorité des autres formations politiques reçues par Jacques Chirac.

    "Le président de la République a été très clair. Il m'a indiqué quelles étaient les positions des autres formations politiques, de droite comme de gauche. Manifestement, tout ne coïncide pas", a-t-il dit.

    "Je ne sais pas s'il a choisi. Il m'a indiqué qu'il y avait une majorité qui semblait incliner plutôt pour fin mai", a-t-il indiqué.

    Concernant la répartition des temps de parole entre les formations politiques à la télévision et à la radio, Georges Sarre a plaidé pour "l'égalité, 50/50" entre le camp du oui et celui du non.

    Il a également plaidé pour un financement de la campagne référendaire par l'Etat, sur la base notamment du remboursement des factures des imprimeurs.


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  • REUNION PUBLIQUE

    Le Samedi 12 mars 2005

    Au siège du MRC Paris

    2 rue Jules Verne

    75011 PARIS

    Métro : Belleville (ligne 2 ou ligne 11) 

    14h00 : Accueil par Thierry ROUSSEAU, secrétaire fédéral aux Jeunesses Citoyennes de Paris

    14h15 : formation sur le thème : L'Europe améliore-t-elle le sort des femmes ?

    avec Aimée GOURDOL, secrétaire nationale aux droits des femmes et de l'égalité hommes - femmes

    15h45 : Campagne référendaire, Comités du Non Républicain de la Jeunesse (CNRJ)

    17h15 : Apéritif républicain


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  • PARIS, 1 mars 2005 (AFP) - Le syndicat Force ouvrière a souhaité mardi "une réorientation" de la construction européenne qui fasse du progrès social "un objectif prioritaire".

    S'exprimant au lendemain du vote par le Parlement de la révision de la constitution française préalable au lancement du référendum sur le traité constitutionnel européen, FO "rappelle qu'elle est critique depuis plusieurs années sur les modalités de la construction européenne, notamment sur la nature prééminente et contraignante de l'économique, a fortiori (quand il est) libéral".

    Le syndicat estime que la nécessité de réorienter la politique européenne vers le social "est d'ailleurs confirmée par l'échec à mi-parcours de la Stratégie européenne pour l'emploi lancée lors du Sommet de Lisbonne de mars 2000".

    Pour FO, "on ne peut réellement mettre en avant la question sociale sans réviser fondamentalement le Pacte de stabilité et de croissance, sans poser la question des conditions et du contenu de l'indépendance de la Banque Centrale Européenne, et sans donner une priorité au service public et à la protection sociale collective sur la concurrence".

    Le syndicat n'a pas donné de consigne de vote pour le référendum sur la constitution européenne, son secrétaire général, Jean-Claude Mailly, refusant de "confondre les citoyens et les travailleurs", mais FO "entend informer largement les salariés de ses analyses et positions", notamment à travers des fiches d'analyse consultables sur le site internet


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