• La moitié des ministres du gouvernement Raffarin ont voté « NON » à Maastricht !

    « Et vous, qu'avez-vous voté lors du référendum sur le traité de Maastricht en 1992 ? » a demandé le Premier ministre à ses ministres !

    La moitié du gouvernement actuel a voté « NON » croit savoir un ministre !


    votre commentaire
  • Les églises chrétiennes satisfaites appellent à voter « OUI » !

    « Le texte apporte des améliorations substantielles aux traités existants (...).

    Nous nous félicitons de la reconnaissance par le traité de l'identité particulière

    des Eglises et de leur contribution spécifique au débat public."

    Le Conseil d'Eglises Chrétiennes en France (CECEF) réunit catholiques, protestants et orthodoxes.


    votre commentaire
  • PARIS (AFP) - Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen, a indiqué mardi qu'en cas de victoire du non le 29 mai, il serait prêt à un "dialogue" avec les partisans socialistes du non tels que Laurent Fabius ou Henri Emmanuelli pour envisager l'avenir de la gauche.

    L'ancien ministre de l'Intérieur, ancien membre du PS, a expliqué sur RTL que "bien entendu" il souhaiterait participer à une reconstruction de la gauche, si les Français votaient non à la Constitution européenne.

    "Tout redeviendrait possible à ce moment-là, à condition naturellement que le Parti socialiste réoriente son projet politique", a-t-il dit.

    Citant Laurent Fabius, "qui a eu le courage de franchir le Rubicon du non", Arnaud Montebourg, Vincent Peillon (NPS) et Henri Emmanuelli (Nouveau Monde), M. Chevènement a estimé qu'"il y aurait la possibilité d'un dialogue" avec eux.

    "Mais, pour le moment, il faut assurer la victoire du non", qui est "possible", a-t-il dit.
    Invité à commenter la montée du non dans les intentions de vote, Jean-Pierre Chevènement a observé que "le non s'installe dans l'opinion". "Il faut se garder de tout triomphalisme", a-t-il ajouté, car "les sondages, deux mois avant l'échéance, ne sont pas significatifs" et "la disproportion des moyens en faveur du oui est écrasante".


    votre commentaire
  • par M-F BECHTEL

    Un texte de 448 articles composé de trois parties

    I/ Les institutions qui feront fonctionner l'Union européenne des 25 Etats membres :

    - une commission composée de 25 commissaires avec un président ; elle a l'initiative de toute proposition de loi, règlement et directives : ceux-ci ont une valeur supérieure aux lois des pays membres ; la commission dispose de directions générales comprenant    milliers de fonctionnaires « européens » qui élaborent l'ensemble de la réglementation européenne dans les domaines les plus variés : agriculture, transport, industrie, services, santé etc. Elle gère   milliards d'euros notamment de distributions d'aides aux régions défavorisées (l es « fonds structurels »)

    (Lire la suite ...cliquer sur le titre)


    2 commentaires
  • La perfide Albion perd-elle son sang froid ?

    Après la charge de la presse britannique à l'encontre de Jacques CHIRAC, s'interrogeant - lors du sommet de Bruxelles du 24 mars dernier - sur une exception budgétaire britannique « qui ne se justifie plus aujourd'hui », le ministre britannique aux Affaires européennes Denis MacShane insulte les français.

    S'exprimant avec son homologue française Claudie Haigneré à l'Institut des Hautes Etudes Economiques et Commerciales, M. MacShane a notamment qualifié les partisans du "non" de "néo-cons" !

    Que dire alors du versement de subventions à toute l'aristocratie<shapetype id="_x0000_t75" path="m@4@5l@4@11@9@11@9@5xe" o:spt="75" coordsize="21600,21600" stroked="f" filled="f" o:preferrelative="t" /> anglaise. La reine d'Angleterre, le prince Charles et un certain nombre de ducs, comtes, barons et marquis font partie des plus gros bénéficiaires des subventions versées par Bruxelles à la Grande-Bretagne au titre de la politique agricole commune (PAC).

    La reine n'a pas trop à se plaindre de l'Europe, qui lui a versé près de 800 000 euros pour ses domaines de Sandringham et de Windsor. Charles a reçu moitié moins pour son duché de Cornouailles et pour sa ferme de Highgrove.

    Qui de la France ou de l'Allemagne sera capable de dire NON à cette Europe anglo-saxonne ?


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique