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  • Pour sauver la "constitution" menacée par la pression de l´opinion publique, le sommet européen a mis provisoirement au rencart la directive Bolkestein et a assoupli le "pacte de stabilité". Ces reculades toutes provisoires ne sont possibles que parce que la règle de l´unanimité existe toujours et que la voix des Etats, et en premier lieu la France et l´Allemagne, reste prépondérante. Avec la "constitution", la politique ultra-libérale aurait demain les mains libres, la voix des Etats deviendrait secondaire, et les citoyens pourraient toujours pétitionner dans le vide. Les droits sociaux des salariés et l'avenir de nos entreprises sont indissociables de la souveraineté démocratique des Nations.

    Votons NON !

    François MORVAN
    Président de VLR !


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  • Les aveux de Barnier : la directive Bolkestein «pas acceptable» !


    Le ministre français des Affaires étrangères, Michel Barnier, a estimé aujourd'hui que la Commission européenne avait «sous-estimé» les problèmes posés par la directive européenne sur la libéralisation des services. Il a réaffirmé que, pour la France, le texte n'était «pas acceptable dans son état actuel».

    Mascarades ou aveux ?

    Un seule réponse : "NON" le 29 mai !


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  • Le Monde - 24 mars 2005 -

    Le camps du "OUI" n'a pas lu son texte !

    Les deux français de l'ancienne Commission, le ministre des affaires étrangères Michel Barnier et le socialiste Pascal Lamy ont soutenu sans états d'âme la proposition de directive Bolskestein lors de son adoption en janvier 2004.

    Aucun n'a émis de réserves sur le projet Bolkestein !

    Un proche à Bruxelles de M. Barnier précise : « Il est vrai que nous n'avons pas tout vu » !

    Sans commentaire !


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