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  • M. Chevènement ironise sur "les milieux d'affaires (qui) se plaignent de la conjoncture européenne mais, paradoxalement, souhaitent la victoire du oui". "Seule la victoire du non peut donner une bouffée d'oxygène à l'économie européenne en laissant entrevoir un changement de la politique monétaire de la Banque centrale", affirme-t-il.
    Le maire de Belfort précise que ce changement d'attitude de la BCE doit se faire "sous la pression conjuguée de la France et de l'Allemagne après les élections de Rhénanie" qui ont vu la défaite des sociaux-démocrates de Gerhard Schröder.
    Enfin, M. Chevènement demande aux "dirigeants de prendre conscience de la nécessité de desserrer l'étau" de l'euro fort qui "pénalise l'Europe vis-à-vis des Etats-Unis et des pays dont la monnaie est liée au dollar, comme la Chine". L'Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE) a conseillé mardi à la BCE de baisser prochainement ses taux d'intérêt, face au brusque coup de frein subi par la croissance économique européenne.


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  • Henri de France, comte de Paris et duc de France vote NON au référendum sur la Constitution européenne du 29 mai : "La France et les Français vivent actuellement la mort programmée de notre Patrie et l'effacement de notre identité. Certains, dont je suis, osent clamer le danger de la disparition qui guette la France car il semble exister une volonté d'éradiquer nos racines et de mettre fin à notre histoire", explique l'héritier de la Maison de France. dans un communiqué transmis à l'AFP. " J'ai confiance dans le bon sens des Français pour construire solidairement une autre Europe que celle qu'on nous impose. L'Europe du capital ultra-libéral dont on ne sait plus qui détient quoi et qui décide quoi, doit mourir ce 29 mai".


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  • N'OUBLIONS JAMAIS...

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