Le 1er juillet 1965, pour marquer son opposition à un plan prévoyant le renforcement des pouvoirs européens, la France refuse de siéger à Bruxelles. C'est la politique de la chaise vide.
« La France a vécu avant le Traité de Rome et pourra vivre après », s'exclame de GAULLE.
Six mois après, le 29 janvier 1966, un compromis est trouvé avec les partenaires, c'est le compromis de Luxembourg.
La majorité reste la règle sauf quand « des intérêts très importants d'un ou plusieurs partenaires seront en jeu ».
Quand la France disait « NON », l'Europe reconsidérait sa position !