PAR FRANÇOIS GUILLAUME *
Le vote des agriculteurs, présumé favorable au non à la Constitution, a surpris les partis politiques, qui se sont hâtés de lancer une contre-offensive en mobilisant, la plupart des dirigeants agricoles, pressés de s'engager dans une querelle partisane qui n'est pas la leur. Au risque, pour eux, d'être désavoués par leurs adhérents et d'avoir à leur rendre des comptes après l'échéance, au cas où, la Constitution adoptée, le démantèlement en cours de la politique agricole commune (PAC) se poursuivrait.
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