Christine Fauvet-Mycia
Ils n'en reviennent pas. Du Portugal à la Finlande, du Danemark à la Slovénie, la perplexité est la même. Quand, en France, les premiers sondages ont placé en tête le non au traité constitutionnel, nos voisins ont cru à une mauvaise farce. Quand semaine après semaine, le non a conforté son avance, ils ont commencé à s'inquiéter, sérieusement. Des conséquences d'un rejet français sur l'avenir de l'Union et de l'impact de cette fronde gauloise sur leurs propres opinions.
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