Le ministère nippon de l'éducation, des sciences et des technologies « envisage de protester auprès de Paris » après les déclarations de Jacques Chirac jugées « inappropriées ».
Pour Toichi Sakata, directeur général du bureau de la recherche au ministère, « la question de la décision du site d'ITER n'est pas encore résolue : nous sommes au milieu des négociations. »