• Ni retrait  de la Directive Bolkestein, ni abandon du principe du pays d'origine !

    « Pour promouvoir la croissance et l'emploi et pour renforcer la compétitivité, le marché intérieur des services doit être pleinement opérationnel tout en préservant le modèle social européen. A la lumière du débat en cours, qui montre que la rédaction actuelle de la proposition de directive ne répond pas pleinement aux exigences, le Conseil européen demande que tous les efforts soient entrepris dans le cadre du processus législatif pour dégager un large consensus répondant à l'ensemble des objectifs ».


    votre commentaire
  • <shapetype id="_x0000_t75" stroked="f" filled="f" path="m@4@5l@4@11@9@11@9@5xe" o:preferrelative="t" o:spt="75" coordsize="21600,21600" /><stroke joinstyle="miter" /><formulas /><f eqn="if lineDrawn pixelLineWidth 0" /><f eqn="sum @0 1 0" /><f eqn="sum 0 0 @1" /><f eqn="prod @2 1 2" /><f eqn="prod @3 21600 pixelWidth" /><f eqn="prod @3 21600 pixelHeight" /><f eqn="sum @0 0 1" /><f eqn="prod @6 1 2" /><f eqn="prod @7 21600 pixelWidth" /><f eqn="sum @8 21600 0" /><f eqn="prod @7 21600 pixelHeight" /><f eqn="sum @10 21600 0" /></formulas />

    <lock aspectratio="t" v:ext="edit" /></shapetype /><shape id="_x0000_s1026" style="MARGIN-TOP: -175.4pt; Z-INDEX: 1; MARGIN-LEFT: -70.85pt; WIDTH: 16.5pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 23.25pt; wrap-distance-left: 0; wrap-distance-right: 0; position-vertical-relative: line" o:allowoverlap="f" alt="" type="#_x0000_t75" /><imagedata o:title="l" src="file:///C:\DOCUME~1\jean-luc\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image001.gif" /><wrap type="square" /></shape />

    Le Conseil européen des 22 et 23 mars a décidé de ne pas adopter la directive sur la libéralisation du marché des services, dite Bolkestein, telle qu'elle était rédigée. Néanmoins, les propos du président du Conseil européen, Jean-Claude Juncker, dans son communiqué de presse du 23 mars, sont clairs : "La directive ne sera pas retirée. Seule la Commission pourrait le faire. Le Conseil européen n'a pas le droit de -lui- donner des injonctions de ce type."

    Antoine Rémond est enseignant à l'université Paris-XIII, membre du Centre d'économie de Paris-Nord. - LE MONDE - 08.04.05 -

    (Lire la suite...cliquer sur le titre)


    votre commentaire
  • «Le président de la République a rappelé au président de la Commission que la proposition de directive sur les services était inacceptable pour la France comme pour d'autres partenaires européens et qu'elle devait être complètement remise à plat», a dit le porte-parole de l'Elysée Jérôme Bonnafont. 
    (Photo AFP.) 


    votre commentaire
  • LEMONDE.FR -14.03.05-

    Le président de la Commission européenne, José Manuel Durao Barroso a déclaré lundi que certains éléments de la "directive Bolkestein" pourraient être revus, mais qu'elle serait bien appliquée, pour augmenter la "compétitivité" de l'Europe. Ses opposants protestent contre les "mensonges" au sujet d'une éventuelle "remise à plat" de la directive.

    José Manuel Durao Barroso a averti lundi les 15 pays de l'"ancienne" Union européenne que son rôle n'était pas de les défendre contre la concurrence des dix nouveaux venus, notamment dans le domaine des services.

    (lire la suite...cliquer sur le titre)


    votre commentaire
  • PARIS, 10 mars 2005 (AFP) - Le groupe communiste au Sénat s'est démarqué jeudi de la position de la commission des Affaires économiques sur la directive Bolkestein, exigeant son "retrait" plutôt que sa "réécriture".
    Dans un communiqué, les sénateurs communistes s'en prennent au rapporteur Jean Bizet (UMP, Manche), favorable à ce qu'on aille "plus avant dans la libéralisation des services" au sein de l'Union européenne.
    "M. Bizet est cohérent. En effet, il est pour le oui à la Constitution européenne", soulignent-ils, dénonçant un traité qui "érige en objectif de l'Union +un marché intérieur où la concurrence est libre et non faussée+".
    "Il n'y a pas à tergiverser pour refuser la libéralisation des services, il faut retirer le texte Bolkestein, il faut voter non au traité qui instaure le libéralisme comme pensée unique européenne", insiste le communiqué.
    La commission sénatoriale a adopté mercredi une résolution qui exige des "études d'impact" avant toute mise en oeuvre éventuelle du "principe du pays d'origine", disposition phare de la directive en vertu de laquelle le droit du travail applicable dans les pays de l'UE est celui du pays membre où l'entreprise prestataire de services a son siège.
    Le groupe socialiste avait immédiatement fait connaître son désaccord, jugeant la directive "inacceptable en l'état" et demandant son "retrait".
    La directive Bolkestein sera discutée en séance publique au Sénat le 15 mars.

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique