• PARIS, 7 mars 2005 (AFP) - Attac a lancé sa campagne pour le "non" au référendum sur la Constitution européenne, un vote "au nom de l'Europe" par lequel l'association altermondialiste entend se distinguer du "camp du repli et des égoïsmes" incarné par "les villiéristes et l'extrême droite".

    Les militants d'Attac, qui s'interrogent depuis sa création, en 1998, sur les "débouchés politiques" de leur action, s'étaient prononcés à 84%, le 12 décembre, "contre la ratification du Traité constitutionnel européen" et avaient demandé à 72% que l'association altermondialiste "donne des indications de vote".


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  • PARIS, 7 mars 2005 (AFP) -

    L'Association républicaine des Anciens combattants et victimes de guerre (Arac), proche du PCF, a appelé lundi à dire Non à la Constitution européenne lors du référendum du 29 mai.  Dans un communiqué, l'Arac estime que "voter non, c'est stopper le gouvernement dans sa liquidation des acquis de la Libération, c'est donner un coup d'arrêt à la casse des services publics et des grands dispositifs de solidarité sociale".  En revanche, "répondre oui" au référendum, "ce serait nous interdire de choisir un projet de société différent pour notre pays", estime l'association.  "Voter non au référendum, c'est dire oui à l'Europe dont les nations et les peuples ont besoin", ajoute l'Arac.  L'Arac revendique quelque 100.000 adhérents.


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  • "ATTAC DIT « NON » AU TRAITÉ CONSTITUTIONNEL EUROPÉEN ET VA MENER CAMPAGNE POUR LE METTRE EN ÉCHEC"

    Extraits de la déclaration du Conseil d'Administration d'Attac,

    Paris, 12 décembre 2004

    FACE À UNE « CONSTITUTION » NÉOLIBÉRALE, un « non » authentiquement européen !

    (lire la suite...)

     


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  • Dire "non" au traité constitutionnel, pour construire l'Europe !

    Face à la mondialisation libérale et aux firmes transnationales, nous avons besoin d'Europe. Mais celle qui se fait aujourd'hui n'est pas l'Europe dont nous avons besoin.

    L'Europe qu'on nous demande d'avaliser est totalement organisée autour d'un principe unique : le marché, la généralisation de la concurrence. C'est cela qui autorise l'attaque contre les services publics, l'incitation à l'allongement de la durée du travail et sa flexibilisation, l'encouragement à la régression sociale dans chacun des pays de l'Union européenne. Cette Europe-là est menée par le haut, par des négociations opaques entre les gouvernements et par des instances qui ne sont pas soumises au contrôle démocratique, telles la Commission ou la Banque centrale européenne.

    (lire la suite...cliquer sur le titre)


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