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  • A quinze jours de l'échéance électorale du 29 mai, je crois de mon devoir de citoyen d'apporter au débat public quelques éléments tirés de mon expérience personnelle. Je n'ai pas eu le courage d'en prendre le temps auparavant, je le fais maintenant sans plaisir.

    De prime abord naturellement favorable au projet de Constitution européenne - un « oui du cœur » -, j'ai passé tout le temps de la campagne à l'intérieur de l'un des principaux états-majors du Oui jusqu'à ce que, progressivement confronté au texte lui-même par la nécessité de répondre aux arguments du Non, j'en vienne à réaliser que ce projet de Constitution était dangereux pour la démocratie républicaine.

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  • « L'erreur initiale tient à l'idée que l'Europe pourrait se constituer sous la forme d'un grand Etat englobant les nations, exactement comme celle-ci ont autrefois intégré villes et provinces. C'est l'idée sœur du mondialisme qui veut croire à un ordre international universel conçu comme un super-Etat. L'erreur de ces deux visions de l'histoire relève du même simplisme. Elle consiste à voir toutes les collectivités comme similaires, quoique plus ou moins étendues, et à croire qu'elles pourraient s'emboîter les unes aux autres par un fédéralisme identique. Le progrès consisterait à en réunir le plus possible et l'on passerait de l'Etat à l'Europe puis à l'univers aussi naturellement que l'on est passé des communes à la province et de la province à l'Etat.

    Mais c'est méconnaître l'originalité de l'Etat. Qu'on le veuille ou non celui-ci n'est pas une collectivité comme une autre, car les autres dépendent de lui. Il est une collectivité souveraine par nature parce qu'en lui s'exprime la volonté nationale, c'est-à-dire la seule forme de démocratie authentique. »

    Marie-France GARRAUD


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  • Par Elie Arié

    Lors de l'émission télévisée Mots croisés, Max Gallo face à Jean-François Coppé, a affirmé que la Constitution européenne créerait les conditions pour que les entreprises exigent de se désaffilier de l'assurance maladie obligatoire. Le ministre du Budget lui a répondu que le principe de concurrence continuerait à ne s'appliquer qu'aux seules assurances complémentaires santé facultatives.

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